Pour Lacan, en se basant sur les liens entre la répétition et l’ordre symbolique — la division signifiante et la jouissance —, il n’y a aucune énigme, ce quelque chose d’autre qui pousse à la répétition, et que Freud appelle l’instinct de mort, traduit simplement l’insistance symbolique liée à l’acte récursif de coupure de l’objet petit a.
Mais c’est aussi du côté du savoir que se place l’instinct de mort : parmi tous les êtres vivants, l’être humain est vraisemblablement le seul à percevoir que la vie conduit à la mort. Le sujet sait qu’après la mort il sera représenté par un signifiant figé, et qu’il ne pourra plus couper la chaîne signifiante.