Le désir de l’Autre ne s’analyse pas d’un point de vue hédoniste lié au « principe de plaisir ». De même, il ne dépend pas de références objectales, et n’est pas équivalent à l’acception courante qui est désir de quelque chose.
Nous appelons question du désir le projet d’alliance triangulaire entre ces trois éléments : le sujet barré, l’objet petit a, et le signifiant (le langage).